Et si vous êtes du genre à combiner mer et terre, un conseil : pensez à réserver vos hébergements à l’avance. Par exemple, après un retour de ferry depuis la Corse, j’avais prévu une étape reposante dans un gîte typique, trouvé sur https://gitesalsace67.com – franchement, ça change tout de dormir dans un endroit calme après une journée en mer. Bon, passons aux choses sérieuses.

1. Vérifier les papiers et la réservation

Ça paraît évident, mais c’est LE truc qu’on oublie toujours quand on part tranquille. Vérifiez votre billet (numérique ou papier), l’heure exacte d’embarquement, et surtout, le port de départ. Certains ferries ont plusieurs terminaux, et se tromper de quai, c’est le genre d’erreur qu’on ne fait qu’une fois. Pensez aussi à garder une pièce d’identité valide (même pour les trajets intérieurs, certaines compagnies la demandent).

2. Anticiper l’heure d’arrivée au port

Ne sous-estimez jamais le temps que prend l’embarquement. Pour un ferry avec voiture, arrivez au moins 1h30 avant le départ. Sans véhicule, 45 minutes, c’est bien. Les files d’attente peuvent être longues, surtout en haute saison. Perso, je préfère arriver tôt, boire un café face à la mer, et regarder les autres stresser – ça met dans l’ambiance.

3. Bien préparer ses bagages

Le ferry, ce n’est pas l’avion : pas de limite stricte sur les bagages, mais pensez pratique. Un sac pour les affaires à garder sur vous pendant la traversée (livre, chargeur, pull, écouteurs…) et le reste en soute si vous avez un véhicule. Les cabines sont souvent petites, donc inutile de trimbaler une valise XXL à bord. Et si vous êtes sujet au mal de mer, glissez un petit patch anti-nausée ou du gingembre confit dans votre sac, ça peut sauver une traversée.

4. Prévoir de quoi passer le temps à bord

Selon la destination, la traversée peut durer de 30 minutes à 12 heures. Si vous partez vers la Corse ou la Sardaigne, prévoyez un peu de lecture, des jeux, ou même une série téléchargée à l’avance (le Wi-Fi à bord, disons-le franchement, c’est rarement fiable). Et pour les couchettes de nuit, un petit masque de sommeil et des bouchons d’oreilles, c’est le combo parfait pour éviter les bruits de moteur ou les voisins bruyants.

5. Penser à la nourriture (et à l’eau !)

Les restaurants de ferry, ça dépanne, mais les prix peuvent piquer. Un sandwich maison, une gourde d’eau et quelques snacks, c’est souvent plus malin. Certaines compagnies autorisent les glacières, d’autres non – vérifiez avant. Et si vous voyagez avec des enfants, un pique-nique improvisé sur le pont, avec vue sur la mer, ça peut vite devenir le meilleur moment du trajet.

6. Pour les trajets avec véhicule

Si vous embarquez votre voiture, videz le coffre des objets fragiles et coupez l’alarme (sinon, bonjour la symphonie pendant la traversée). L’équipage vous guidera pour le stationnement, mais prenez une photo du pont ou de la zone où vous laissez votre véhicule : les parkings intérieurs, c’est un vrai labyrinthe quand on débarque à 6 h du matin à moitié endormi.

7. Préparer les papiers pour les animaux

De plus en plus de compagnies acceptent les animaux, mais il y a des règles : carnet de vaccination à jour, laisse, muselière parfois obligatoire, et cage ou sac adapté. Certains ferries disposent même de chenils à bord. Et croyez-moi, un chien heureux en mer, c’est un passager détendu (et un maître aussi).

8. Le dernier conseil : déconnecter

Une fois à bord, laissez le stress à quai. Le ferry, c’est aussi une expérience à part : on prend le temps, on regarde la mer, on respire. C’est peut-être le moment parfait pour ne rien faire – juste observer l’horizon, écouter les moteurs ronronner, et sentir le vent. Franchement, ça fait du bien.

En résumé : une bonne préparation, c’est la clé d’un voyage en ferry sans prise de tête. Vérifiez vos papiers, arrivez en avance, voyagez léger, et surtout, gardez l’esprit marin. Après tout, le ferry, c’est déjà un peu les vacances avant l’heure.

Parce que l’île Maurice, c’est pas juste des plages carte postale. C’est une vraie pépite de l’océan Indien, avec ses marchés animés (le bazar de Port-Louis, tu connais ?), ses rando dans les gorges de Rivière Noire, et ses petites adresses planquées pour manger un bol renversé qui claque. D’ailleurs, si t’as pas encore booké ton logement, va jeter un œil sur https://hotel-ile-maurice-break.com, c’est super utile pour repérer des bons plans et éviter les grosses usines à touristes.

On peut aller à l’île Maurice en ferry ?

Alors, soyons clairs : non, tu ne prends pas le ferry depuis la France ou l’Europe jusqu’à l’île Maurice, hein. On n’est pas dans une croisière transatlantique ici. Mais depuis la Réunion, là oui, c’est possible. Et c’est même une belle option si t’as envie de combiner les deux îles.

La compagnie qui opère cette traversée, c’est **Mauritius Trochetia** (oui, c’est aussi le nom d’une fleur locale). Le bateau fait le trajet entre **Port-Réunion (Le Port)** et **Port-Louis**, avec environ **2 à 3 rotations par mois**. Niveau durée ? Compte entre **36 et 40 heures**, selon les conditions de mer. Oui, c’est long. Mais ça a un côté lent, déconnecté, presque méditatif, que moi perso j’adore.

À quoi s’attendre à bord ?

On n’est pas sur un ferry ultra-moderne comme en Méditerranée, mais il y a le confort de base : cabines (privées ou à partager), restauration simple, quelques espaces communs. Bon, ça tangue un peu parfois – surtout si tu tombes sur une mer agitée. Mais en général, ça reste raisonnable.

Si t’es sujet au mal de mer, prévois le coup : patchs, cachets, gingembre confit… chacun sa technique. Et pense à prendre un bon bouquin ou télécharger des films, parce que niveau distractions, c’est pas Disneyland. Mais c’est aussi ça le charme du voyage en mer, non ?

Pourquoi choisir le ferry plutôt que l’avion ?

La plupart des gens prennent l’avion (40 minutes de vol, c’est plié). Mais le ferry, c’est une vraie expérience. T’as le temps de voir l’océan, de décrocher, de vivre le trajet. Et si tu voyages avec beaucoup de bagages ou un véhicule (oui, c’est possible d’embarquer avec sa voiture), ça peut devenir intéressant financièrement.

Et puis, soyons honnêtes : combien de gens peuvent dire “je suis allé à Maurice… en bateau” ? C’est carrément plus stylé.

Combien ça coûte ?

Les prix varient pas mal selon la cabine que tu choisis, la saison, et si tu voyages avec ou sans véhicule. À titre d’exemple, un billet piéton simple peut tourner autour de **170 à 200 euros**. Pour une cabine privative, c’est plus cher évidemment, mais ça reste souvent moins onéreux qu’une nuit d’hôtel + un vol.

Petit conseil : réserve bien à l’avance, les places sont limitées et ça se remplit vite, surtout pendant les vacances scolaires à la Réunion.

Ferry ou avion ? Mon verdict perso

Perso, si t’as le temps et que t’aimes la mer, fonce sur l’option ferry. C’est pas juste un moyen de transport, c’est un bout d’aventure en plus dans ton voyage. Par contre, si t’es pressé, que t’as le mal de mer ou que tu veux juste poser tes valises direct à Grand Baie pour siroter un rhum arrangé, l’avion reste le plus pratique.

En résumé : choisir son ferry pour Maurice

• Seul ferry régulier : Mauritius Trochetia, depuis La Réunion.
• Durée : environ 36 à 40h.
• Prix : autour de 170-200€, selon options.
• Véhicules acceptés à bord.
• Réservations à faire longtemps à l’avance.

Voilà, t’as toutes les cartes en main pour décider si ce ferry est fait pour toi ou pas. Alors, tu te laisses tenter par la traversée

1. Arriver trop juste à l’embarquement

Tu crois que t’es large ? Spoiler : t’es pas large. Entre le parking blindé, les contrôles, la queue au guichet parce que t’as pas imprimé ton billet (oui, encore un), t’as vite perdu 20 minutes.
Perso, la première fois, j’ai embarqué en courant avec mon sac à la main… pas hyper glamour. Arrive au moins 45 minutes en avance, même si le bateau n’a pas l’air pressé. Lui, il partira.

2. Mal gérer le mal de mer (ou faire genre que ça n’arrive qu’aux autres)

Tu te sens solide ? Bien. Mais la mer, elle s’en fout de ton ego. Même une traversée d’une heure peut te retourner si t’as pas l’habitude. Et le bateau rapide, parfois, ça secoue.
Petit conseil qui m’a sauvé : regarde l’horizon, évite l’alcool et les écrans, et prévois un anti-nausée (style mercalm). T’auras l’air prévoyant, pas fragile.

3. S’asseoir au mauvais endroit

Ça paraît bête, mais selon le type de bateau, le placement change tout. Trop à l’arrière ? Plus de vibrations. Trop devant ? Tu prends les mouvements de plein fouet.
Si tu veux être peinard : vise le centre, côté hublot si t’es sensible. Et évite les zones proches des toilettes… je t’épargne les détails.

4. Mal choisir ses vêtements

Ah, le classique “il fait beau à quai”. Sauf que sur l’eau, ça souffle. Même en été, tu peux te geler en deux minutes. Et inversement : en plein soleil sur le pont, tu crames.
Emporte toujours un coupe-vent, des lunettes de soleil, et un truc à enfiler vite si besoin. T’as pas besoin d’un dressing, juste de prévoir les deux extrêmes.

5. Sous-estimer la durée réelle du trajet

Non, une traversée “de 45 minutes” ne dure pas 45 minutes. Y’a l’embarquement, le débarquement, les annonces, les retards.
Si tu dois choper un train ou un autre transport derrière, prévois une vraie marge.
Je me suis déjà retrouvé à courir dans un port inconnu avec Google Maps en main. Mauvais souvenir.

6. Penser que « y’aura de quoi grignoter à bord »

Parfois oui. Parfois non. Et parfois, c’est une machine à café hors service et deux chips au fond d’un paquet oublié.
Si t’as faim, prévois ton truc. Une banane, un sandwich, un truc simple. Tu me remercieras au moment où tu verras la file d’attente devant un distributeur vide.

7. Zapper l’info météo

Franchement, c’est la base. Et pourtant, beaucoup l’oublient. Même une petite houle peut changer l’ambiance du trajet.
Un vent de face ? Tu sens que le bateau lutte. Une mer formée ? Bonjour les vagues.
Un petit check météo marine avant de partir peut vraiment t’aider à anticiper. Et à choisir ton siège. Et ton état d’esprit.

Alors, prêt à embarquer ?

Un voyage en bateau, c’est unique. Ça a un charme fou. Mais si tu évites ces erreurs-là, tu profites à 100%. Et ça, crois-moi, ça change tout.
Et toi, t’en as déjà fait une de ces erreurs ? Ou une autre encore plus bête ?
Avoue, on est tous passés par là.